L’angoisse a-t-elle un sens ? Et si elle était une ruse brillante plutôt qu’un symptôme à éliminer ?

L’angoisse n’est pas un bug. C’est une stratégie.

On nous l’a vendue comme un parasite, une erreur de câblage, un déraillement intérieur. L’angoisse serait une pathologie, un dérèglement à corriger, une faute biologique, un symptôme d'anxiété. Soit.

Alors on la chasse :

  • Médicaments,
  • Techniques de relaxation,
  • Coaching,
  • Méditation,
  • TCC,
  • Sopalin émotionnel,
  • et autres béquilles du marché du bien-être.

Mais si tout cela était une erreur de diagnostic ?

Et si l’angoisse était une stratégie, pas une pathologie ?

Un système de défense complexe, élaboré, finement organisé pour éviter ce qui serait pire qu’elle-même.

Et si, plutôt que de vouloir la faire taire, il fallait l’écouter comme un stratège écoute un espion revenu du front ?

L’angoisse, ce messager que personne n’écoute

Un symptôme, dans l’approche systémique, ce n’est jamais un problème. C’est une solution qui a trop bien marché.

Une jeune femme se met à suffoquer dès qu’elle doit prendre la parole. On diagnostique une phobie sociale, on lui apprend à respirer, à relativiser.

Mais on oublie de lui demander :

Fatigué(e) des solutions qui ne résolvent rien ?
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