Quand l’hyper sécurité engendre un sentiment d’insécurité

Depuis vingt ans, la France comme l’Europe ont investi massivement dans la sécurité :

  • Caméras de vidéosurveillance,
  • Contrôles d’identité,
  • Filtrage biométrique aux aéroports,
  • Cybersurveillance bancaire,
  • Reconnaissance faciale à l’entrée des stades.

Ces dispositifs ont permis d’éviter des attentats, de protéger des enfants, de retrouver des personnes disparues, de sécuriser des lieux sensibles. La surveillance a donc une utilité réelle.

Mais quand la logique de protection se transforme en culture de l’hypersurveillance, elle peut générer l’effet inverse :

un sentiment d’insécurité croissant.

En d’autres termes, la vigilance utile devient anxiogène lorsqu’elle franchit un seuil critique, transformant la société en espace sous tension permanente.

La différence entre surveillance légitime et hypersurveillance

La surveillance légitime

Prévention d’attentats

Les services de renseignement français et européens ont déjoué plusieurs projets grâce à l’exploitation de données numériques (DGSI, Europol).

Protection des enfants

La surveillance des réseaux sociaux a permis de détecter des cas de harcèlement ou de cyberpédophilie.

Sécurisation d’événements publics

Caméras et forces de l’ordre préviennent des débordements lors de grands rassemblements sportifs.

Ces usages sont généralement acceptés car ils répondent à des menaces précises et sont – généralement – proportionnés à l’objectif.

Par exemple, en France, ce n’est malheureusement pas toujours le cas, surtout en ce qui concerne des manifestations, lesquelles sont le plus souvent réprimées – parfois violemment – par un état qui entrave le droit de grève comme le droit de manifester.

Quand la surveillance bascule en hypersurveillance

L’hypersurveillance, au contraire, désigne l’extension systématique de contrôles dans la vie quotidienne :

  • Caméras dans les espaces urbains sans menace particulière,
  • Multiplication des contrôles d’identité routiniers,
  • Surveillance numérique permanente (cookies, géolocalisation, suivi bancaire).

Elle n’est plus perçue comme protectrice mais comme un filet intrusif.

Les données françaises et européennes : un paradoxe inquiétant

Le sentiment d’insécurité en France

Selon le CEPREMAP (2018), près d’un tiers des Français déclaraient ressentir un sentiment d’insécurité régulier, alors même que les statistiques de criminalité restaient stables ou en baisse.

Ce décalage souligne un paradoxe : plus de moyens sécuritaires ne signifient pas automatiquement plus de sécurité ressentie.

Santé publique et anxiété

Le Baromètre de Santé publique France (2021) estime que 11 à 13 % des adultes souffrent de troubles anxieux.

Ces chiffres, comparables à ceux de l’Allemagne ou de l’Espagne, montrent que le sentiment d’insécurité touche surtout les plus fragiles :

  • Chômeurs (près de 20 %),
  • Familles monoparentales (17,5 %),
  • Ménages en grande précarité (24,5 %).

Ici, l’insécurité administrative et institutionnelle alimente autant l’angoisse que la criminalité réelle.

La surveillance numérique et la perception d’intrusion

Une étude menée en France, Allemagne et Royaume-Uni (N=614) a montré que les utilisateurs exprimaient des émotions négatives fortes (anxiété, irritabilité, perte de confiance) face à la surveillance numérique et au tracking publicitaire (Stalla-Bourdillon et al., 2022, arXiv:2202.04682).

Autrement dit, la sécurité numérique peut être ressentie comme insécurisante.

La cage de verre

L’hypersécurité ressemble à une cage de verre.

Transparente, elle semble invisible. Elle rassure certains en fermant les portes aux menaces extérieures. Mais à mesure que les parois se renforcent, le citoyen ressent moins la protection que l’enfermement.

Cette cage ne se voit pas toujours, mais elle se ressent : dans le stress du contrôle permanent, la méfiance sociale, et la peur de commettre le moindre faux pas.

Conséquences psychosociales de l’hypersurveillance

Hypervigilance permanente

Les sciences sociales montrent que la surveillance constante induit une auto-régulation anxieuse. On se surveille soi-même.

Cette hypervigilance peut mener à la fatigue psychique, voire à une perte de spontanéité dans la vie quotidienne (Foucault, Surveiller et punir, 1975, repris dans Revue internationale des sciences sociales, 2007).

Le « monde hostile »

Le Mean World Syndrome, théorisé par George Gerbner, illustre que plus une société est exposée à des images de danger (ou à des dispositifs qui rappellent ce danger), plus elle développe une perception du monde comme fondamentalement menaçant.

Ce syndrome s’applique aux dispositifs de sécurité : voir un policier ou une caméra en permanence, c’est croire que le danger est partout, en plus de se sentir soi même menacé(e).

Défiance et repli social

Une enquête européenne (Eurobaromètre, 2019) souligne que la confiance des citoyens dans les institutions baisse quand ils perçoivent la surveillance comme abusive. Cette défiance engendre repli, désengagement civique et, parfois, comportements antisociaux.

Les digital natives face à l’hypersurveillance

Une génération connectée et traquée

Les jeunes générations – qu’on appelle souvent digital natives – ont grandi avec les écrans, les réseaux sociaux, la géolocalisation et les objets connectés.

Pour eux, la surveillance n’est pas une nouveauté, mais une condition de base :

  • Dès l’école, leurs devoirs passent par des plateformes numériques qui tracent leurs résultats.
  • Leurs loisirs sont calibrés par des algorithmes (Netflix, TikTok, Spotify).
  • Leurs échanges intimes sont stockés sur des serveurs dont ils ne contrôlent ni l’accès ni l’usage.

Le paradoxe est frappant : ils maîtrisent les outils numériques, mais en sont aussi les premières victimes en matière de traçage et de collecte massive de données.

L’illusion de la liberté connectée

Les digital natives ont souvent le sentiment d’être libres en ligne : poster, liker, partager. Mais cette liberté est une liberté sous condition.

Chaque clic, chaque mot-clé, chaque recherche alimente un profilage commercial et parfois sécuritaire. En ce sens, l’hypersurveillance leur colle à la peau comme une seconde ombre numérique qu’ils ne peuvent jamais quitter.

Conséquences psychosociales spécifiques

  • Anxiété de l’image

Surveillés par leurs pairs autant que par les plateformes, les jeunes développent une auto-censure permanente, craignant le « bad buzz » ou le rejet social.

  • Normalisation du contrôle

Beaucoup considèrent « normal » de donner leurs données pour accéder à un service, signe que la surveillance s’est banalisée dans leur esprit.

  • Révolte latente

Paradoxalement, cette génération peut aussi devenir la plus critique.

Les mobilisations contre la réforme des retraites en France, contre les lois sur la surveillance biométrique en Europe, montrent que les jeunes perçoivent le danger d’un futur orwellien où leur intimité serait une monnaie d’échange.

Une génération sous tension permanente

L’hypersurveillance produit chez les digital natives une forme d’hypervigilance sociale et numérique.

Ils savent qu’ils sont observés par leurs parents, leurs professeurs, leurs employeurs futurs, leurs abonnés, les États et les marques.

Ce climat constant d’observation diffuse nourrit une anxiété sourde qui peut se transformer en désengagement, en cynisme ou en rébellion. Si ce n’était dramatique, c’est presque risible de cnstater que des états qui privilégient l’hypersécurité finissent par engendre des comportements qu’ils réprouvent comme, par exemple, la sociopathie.

D’ailleurs, ne dit-on pas souvent que les politiques sont des sociopathes ?

Comment rééquilibrer sécurité et liberté ?

Principe de proportionnalité

Le Conseil de l’Europe recommande que les mesures de sécurité soient proportionnées, nécessaires et réversibles. Cela signifie : surveiller là où le risque est avéré, pas dans la vie quotidienne des citoyens.

Transparence et contrôle citoyen

La CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) insiste régulièrement sur l’importance de la transparence des dispositifs (caméras, collecte de données). La participation citoyenne et le contrôle démocratique des outils de sécurité sont des conditions de leur acceptabilité.

Vers une sécurité humanisée

Une sécurité efficace est aussi une sécurité psychologique : donner aux individus un sentiment d’autonomie, d’écoute et de pouvoir d’agir. C’est probablement la meilleure arme contre le climat anxiogène de l’hypersurveillance.

La sécurité est nécessaire, mais l’hypersécurité est un poison lent.

En croyant protéger les citoyens, on finit par les transformer en suspects permanents.

Pour les digital natives, cette réalité est encore plus brutale : ils vivent dans un monde où chaque geste, chaque mot, chaque regard est stocké, analysé, parfois retourné contre eux.

Le défi n’est pas seulement technique ou politique, il est existentiel : voulons-nous d’une société où la sécurité devient un carcan invisible ?

Si la sécurité est un filet, l’hypersécurité est une toile d’araignée : plus on bouge, plus on s’y empêtre.

Important

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Références

Académiques

  • Études publiées sur PubMed/PsycINFO sur surveillance et anxiété
  • Rapports du Conseil de l’Europe sur proportionnalité
  • Recherches comportementales sur l’hypervigilance

Institutionnelles

  • Défenseur des droits (rapports sur surveillance)
  • CADA (accès aux documents sur vidéosurveillance)
  • Observatoire des libertés numériques

Internationales

  • Electronic Frontier Foundation
  • Privacy International
  • Rapports OCDE sur la confiance institutionnelle

Le ghosting ou la rupture des lâches : Un facteur d’anxiété d’abandon

Dans l’art moderne de la rupture, on a inventé pire que les mots qui blessent : leur absence totale.

Le ghosting – ce terme vient des États-Unis – désigne la disparition soudaine d’une personne d’une relation, qu’elle soit amoureuse, amicale ou professionnelle, sans explication, sans mot, sans signe de vie.

Du jour au lendemain, plus de messages, plus de réponses, plus de traces.

Pour celle ou celui qui subit cette disparition, c’est une chute brutale dans le vide relationnel et, dans ce silence, une émotion ancienne, archaïque, ressurgit : l’anxiété d’abandon, cette peur viscérale d’être rejeté(e), ignoré(e), effacé(e).

Le ghosting n’est pas une simple mode. Il est le symptôme contemporain d’une société liquide (Bauman) où l’on jette les liens comme des objets.

Ce comportement dévitement laisse derrière lui une traînée de blessures invisibles :

  • Solitude,
  • Perte de confiance,
  • Angoisse,
  • Voire dépression.

Ghosting : une disparition organisée

Une rupture sans mots

Le ghosting, c’est le contraire du dialogue. Là où autrefois la rupture impliquait des explications – parfois douloureuses, mais nécessaires – le ghosting supprime le langage.

Il annule l’autre comme on efface un fichier inutile.

Le paradoxe de l’ère hyperconnectée

Jamais nous n’avons eu autant de moyens de communication. Pourtant, jamais la disparition silencieuse n’a été aussi facile. Un simple clic suffit : bloquer, supprimer, ignorer.

C’est l’illusion de la toute-puissance numérique : effacer l’autre, et se croire débarrassé de sa propre responsabilité émotionnelle.

L’anxiété d’abandon : une blessure archaïque réveillée

Les racines profondes de la peur d’être abandonné(e)

L’anxiété d’abandon ne naît pas avec le ghosting. Elle plonge ses racines dans l’enfance :

  • Absence d’un parent,
  • Insécurité affective,
  • Amour conditionnel.

Être laissé(e) sans explication réactive cette mémoire inconsciente.

Le ghosting comme déclencheur d’un traumatisme

Lorsqu’on subit un ghosting, l’effet psychologique est disproportionné par rapport au geste en apparence « banal ». Pourquoi ?

Parce qu’il réveille la peur primitive de l’abandon. L’autre disparaît, et dans ce vide, se glisse une certitude terrifiante :

  • Je ne mérite pas d’être aimé(e).

Ghosting et angoisse d’abandon adulte

Chez l’adulte, cette blessure se traduit par une angoisse d’abandon persistante :

Le ghosting n’est pas seulement une rupture, c’est une réactivation traumatique.

Ghosting et société : un symptôme collectif

Une culture de l’évitement

Le ghosting reflète une époque où l’on fuit l’inconfort. Plutôt que d’assumer une rupture, on choisit la fuite numérique. Dire « je ne veux plus » exige du courage. A contrario, cliquer sur « bloquer » demande une seconde.

La banalisation de la violence douce

Certains diront : « Ce n’est pas grave, il/elle n’a qu’à passer à autre chose. » Mais ce discours nie la violence du ghosting. La brutalité du silence est une violence douce, comme une main glacée posée sur la gorge.

Invisible mais étouffante.

Une société qui recycle les relations

Nous consommons les relations comme des biens. Le ghosting est l’équivalent émotionnel du fast-food :

  • Rapide,
  • Jetable,
  • Sans lendemain.

Mais cette logique produit des individus angoissés, insécurisés, incapables de se sentir stables dans leurs liens.

Les conséquences psychosociales du ghosting

Sur l’individu

Les impacts du ghosting sont multiples :

  • Perte de confiance en soi,
  • Baisse de l’estime personnelle,
  • Rumination incessante (« Qu’ai-je fait de mal ?« ),
  • Symptômes anxieux ou dépressifs.

Le ghosting nourrit une angoisse d’abandon chronique qui peut se réactiver dans toutes les relations futures.

Sur le collectif

Au-delà des individus, le ghosting mine le tissu social.

Il installe une culture de la méfiance, où chacun anticipe la possibilité d’être « effacé ». Cela génère une anxiété diffuse, une insécurité relationnelle qui fragilise la confiance mutuelle.

 

Le fantôme relationnel

Littéralement, le ghsoting consiste à se transformer en fantôme. Celui qui disparaît devient une présence-absence.

Il hante l’autre par son silence et, comme dans un manoir vide, chaque pièce rappelle la personne disparue, mais aucune voix ne répond.

La personne ghostée vit dans une maison hantée intérieure : elle cherche des explications qui n’arrivent jamais, elle parle à un mur invisible, elle imagine des raisons fantasmées.

Peut-on surmonter le ghosting ?

Sortir de la culpabilité

Première étape : comprendre que le ghosting parle davantage de celui qui ghoste que de celui ou celle qui est ghosté(e). Le silence n’est pas une preuve de votre inutilité, mais de son incapacité à assumer.

Reconstruire sa valeur

  • Écrire ce que l’on ressent pour sortir du silence.
  • Parler à des proches pour retrouver une validation affective.
  • Reprendre le pouvoir en refusant de rester dans l’attente.

Transformer l’expérience

Aussi violent soit-il, le ghosting peut devenir une expérience de croissance :

  • Apprendre à repérer les signaux d’immaturité relationnelle,
  • Comprendre que l’on mérite des relations claires,
  • Poser des limites plus fermes.

Et ceux qui pratiquent le ghosting ?

Une fuite face à leur propre peur

Le ghoster fuit souvent par peur :

  • Peur du conflit,
  • Peur d’affronter la souffrance de l’autre,
  • Peur de sa propre vulnérabilité.

Mais cette fuite les enferme dans une immaturité affective chronique.

Le prix psychologique pour le ghoster

Contrairement à l’idée reçue, le ghoster ne sort pas indemne. À force de supprimer les autres, il se déshabitue du lien réel, perd sa capacité d’empathie, et finit par vivre lui aussi dans une maison vide.

Le ghsoting : une violence silencieuse

Le ghosting est devenu un mode de rupture fréquent, presque banal. Mais derrière cette banalité se cache une violence silencieuse qui nourrit l’anxiété d’abandon et l’angoisse d’abandon.

Ghoster repose sur un concept de fantôme moderne, celui d’une société incapable de dire, de parler, et de clôturer. Une société où l’on efface plutôt qu’assumer, où l’on disparaît plutôt que d’affronter.

Et si le ghosting est un fantôme, alors la seule manière de s’en libérer est de redonner voix à l’invisible :

  • Parler,
  • Écrire,
  • Partager.

Ce qui nous guérit, ce n’est jamais le silence, mais la parole.

Le ghosting : de la souffrance à l’action avec deeler.app

Le silence d’un ghosting laisse une blessure béante, une maison hantée où résonnent les questions sans réponses.

L’angoisse et la culpabilité s’y installent, nous convainquant que nous sommes le problème. Rester dans la rumination, c’est donner au fantôme le pouvoir de nous hanter.

La seule manière de s’en libérer est d’agir et de reprendre ce pouvoir. C’est là que l’approche de deeler.app se révèle essentielle.

Cette application ne propose pas une thérapie passive où l’on se contente de parler de sa douleur. Elle est une boîte à outils conçue pour transformer l’anxiété et l’angoisse en actions concrètes.

Face à la peur d’être rejeté(e), Deeler.App vous offre des exercices pratiques pour reconstruire votre estime de soi, étape par étape.

Elle vous aide à décrypter vos émotions et à les gérer, non plus en les subissant, mais en les apprivoisant.

Le ghosting est une violence silencieuse à propos de laquelle Deeler.App est une réponse audible, un mouvement vers la guérison.

Plutôt que de rester dans le vide laissé par l’autre, vous pouvez enfin le remplir de votre propre force.

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Questions fréquentes – FAQ

Qu’est-ce que le ghosting ?

Le ghosting est l’action de couper soudainement toute communication avec une personne (en amour, amitié ou travail) sans donner aucune explication. La personne disparaît, ne répond plus aux messages, et se rend injoignable.

Pourquoi le ghosting fait-il si mal ?

Le ghosting est violent car il crée une incertitude et réveille l’angoisse d’abandon. L’absence d’explications pousse la personne ghostée à se remettre en question et à chercher des raisons, ce qui peut mener à une perte d’estime de soi et à une souffrance émotionnelle intense.

Qui est le plus à risque de ghoster ?

Les personnes qui pratiquent le ghosting sont souvent celles qui évitent le conflit et l’inconfort émotionnel. Elles ont du mal à exprimer leurs sentiments ou à faire face à ceux des autres. Cela peut être le signe d’une immaturité affective ou d’une peur de l’engagement.

Comment se remettre d’un ghosting ?

La première étape est de refuser de se culpabiliser. Le ghosting en dit plus sur la personne qui part que sur celle qui reste. Laissez de côté la recherche d’explications et concentrez-vous sur la reconstruction de votre estime de soi. Parlez-en à des proches, écrivez sur vos sentiments et rappelez-vous que vous méritez des relations saines et respectueuses.

Le ghosting est-il un symptôme de notre société ?

Oui, le ghosting est souvent perçu comme le reflet d’une société où les relations sont devenues plus « jetables » et où la communication est parfois superficielle. La facilité technique de couper les ponts (bloquer sur les réseaux sociaux, ne plus répondre aux messages) encourage cette fuite de la responsabilité émotionnelle.

Ressources externes

Étude française sur le ghosting

Article d’Unobravo (un service de psychologie en ligne) présente des données chiffrées issues d’une enquête réalisée auprès de plus de 1 500 Français.

Il est très pertinent pour montrer que le ghosting est un phénomène réel et mesurable en France. Il aborde également l’impact psychologique, en lien avec le sujet de votre article.

https://www.unobravo.com/fr/blog/ghosting-dans-les-relations-amoureuses

Thèse de Master en psychologie sur le ghosting

C’est un document académique qui offre une analyse approfondie du phénomène de ghosting, notamment chez les utilisateurs d’applications de rencontre. C’est une référence de choix pour apporter une crédibilité scientifique à votre article.

https://matheo.uliege.be/bitstream/2268.2/22099/6/MEMOIRE_OFFICIEL.pdf

Article de psychologue sur le ghosting

Ce blog aborde directement les conséquences psychologiques du ghosting. Il est rédigé par un psychologue et donne une perspective clinique sur le sujet, en lien avec la santé mentale et la violence psychique.

Pour ceux qui veulent approfondir le sujet, recommander un livre publié en France est un excellent moyen de fournir des ressources supplémentaires. Cet ouvrage d’Harmonie J. est un guide de compréhension et de guérison.

https://benjamingetenet.fr/ghosting-danger/

Google, ce serial killer impuni qui fait le contraire de ce qu’il dit

On dit souvent que l’Histoire est écrite par les vainqueurs. À l’ère numérique, elle est surtout réécrite par un seul acteur : Google.

Moteur de recherche, empire publicitaire, régulateur invisible du web, juge et bourreau des contenus, Google s’est arrogé un pouvoir absolu.

En août 2023, il a franchi une nouvelle étape : un massacre algorithmique, une purge numérique sans précédent qui a réduit au silence des milliers de sites et détruit jusqu’à 95 % de leur trafic.

Google se prétend éthique. Il parle de transparence, de lutte contre la désinformation, de « mettre l’utilisateur en avant ».

Mais la réalité est à l’opposé : comme un serial killer en col blanc, il tue froidement, avec méthode, et surtout avec l’impunité que lui confère son statut de quasi-monopole.

Ce crime numérique n’est pas isolé. Il reflète la même logique que celle des gouvernements occidentaux – la France en tête – qui sacrifient les plus faibles pour préserver les plus riches.

Google et l’État sont deux faces d’un même système hors-sol, accroché désespérément à un capitalisme moribond, qu’ils maintiennent artificiellement sous respirateur, incapables qu’ils sont d’imaginer une autre voie et d’avoir une autre vision.

Août 2023 : l’algorithme qui a tout changé

Une purge numérique

À l’été 2023, Google a déployé coup sur coup plusieurs mises à jour de son algorithme :

  • Helpful Content Update,
  • Core Update,
  • Product Review Update.

Derrière ces noms – qui ne parleront qu’aux professionnels – se cache un véritable tsunami numérique. En quelques semaines, des milliers de sites ont vu leur trafic s’effondrer de 50 %, parfois 95 %.

Des blogs indépendants, des médias alternatifs, des sites spécialisés bref, tout un pan du web vivant, a été laminé.

Certains ont disparu purement et simplement, faute de lecteurs. D’autres survivent à peine, amputés de leurs abonnés et de leurs revenus.

L’algorithme tueur ou quand les chiffres racontent l’horreur

C’est le cas de fredericarminot.com, un site web de thérapie comportementale. C’est une illustration parfaite de ce « massacre algorithmique » et de la logique qui le sous-tend. L’histoire de ce site n’est malheureusement pas isolée.

Des analyses comme celle de Marie-Aude Labedan, spécialiste du SEO, ont montré comment des mises à jour comme le « Helpful Content Update » ont ravagé des milliers de sites, y compris des sites à forte valeur ajoutée.

Les données sont sans appel : des chutes de trafic de 50 % à 95 % en deux mois ne sont pas un accident, mais une purge intentionnelle.

Google a prétendu vouloir récompenser les « contenus utiles », mais les chiffres ont révélé un autre agenda : la suppression des concurrents au profit des grandes marques et des sites généralistes.

La raison est simple : ces géants génèrent des revenus publicitaires colossaux, et l’algorithme est conçu pour privilégier ce qui est le plus rentable pour Google.

  • Le paradoxe de la « qualité » : dans un paradoxe cruel, Google prétend valoriser la qualité, mais le système est biaisé en faveur du profit. Les petits sites, souvent gérés avec passion et expertise, sont sacrifiés sur l’autel de la rentabilité.
  • La perte de la diversité : l’impact de cette purge ne se limite pas aux revenus. Elle entraîne un appauvrissement de la diversité de l’information sur le web. Les voix dissidentes, alternatives, ou simplement indépendantes sont réduites au silence.

Face à cette logique de destruction, les créateurs de contenus peuvent éprouver un sentiment d’impuissance et de frustration.

Cette violence numérique, bien que non physique, a des conséquences psychologiques très concrètes :

  • Anxiété,
  • Démotivation,
  • Perte de sens,
  • et parfois – souvent ? – dépression.

La justification officielle : l’éthique en vitrine

Pour justifier ce massacre, Google invoque toujours la même rhétorique :

  • Améliorer l’expérience utilisateur,
  • Mettre en avant le « contenu utile »,
  • Combattre les « spammy websites ».

En d’autres termes : « si vous avez perdu 90 % de votre trafic, c’est que vous ne méritiez pas vos lecteurs« .

Un tel propos est une inversion accusatoire qui consiste à rendre une personne responsable de l’agression sexuelle dont elle est victime au motif de sa tenue vestimentaire.

Google détruit puis accuse les victimes de leur propre effondrement. Le discours éthique n’est qu’une vitrine : en réalité, la purge a surtout profité aux sites déjà dominants.

Google, l’État français et l’art de sacrifier les faibles

La même logique prédatrice

Le parallèle avec l’État français saute aux yeux.

Comme Google, l’État prétend agir pour l’intérêt général. Comme Google, il se pare de grands principes – Liberté, Égalité, Fraternité – tout en détruisant, dans les faits, les plus fragiles.

Les pauvres sont laminés par les politiques d’austérité, par les réformes régressives, par un système qui prétend les « aider » mais les enferme dans la dépendance et l’humiliation.

De la même manière, les petits sites web, indépendants et créatifs, sont sacrifiés par Google pour enrichir toujours plus les mastodontes du numérique.

Une vision hors sol

Ni Google, ni l’État français, ne cherchent à réinventer le monde.

Leur seule obsession est de préserver un système exsangue : le capitalisme néolibéral.

Ils se comportent comme des médecins réanimant un patient en état de mort cérébrale, multipliant les perfusions et les respirateurs artificiels, incapables d’accepter l’évidence : ce modèle est en fin de vie.

C’est la métaphore du dinosaure sous perfusion : énorme, encombrant, mais déjà condamné.

Tout est fait pour prolonger son agonie, au prix du sacrifice de ceux qui, eux, avaient encore quelque chose à dire, à créer, à inventer.

Les conséquences psychosociales de ce massacre numérique

L’angoisse des créateurs

Pour les créateurs de contenus, ce fut un choc psychologique.

Du jour au lendemain, leur travail a perdu toute visibilité. Des années d’efforts effacées en un claquement de doigts algorithmique. Comment ne pas développer un sentiment d’impuissance, de colère, voire de dépression ?

Cette violence numérique, invisible aux yeux du grand public, produit les mêmes effets que toute forme d’exclusion brutale :

Une confiance détruite

Au-delà des créateurs, c’est la confiance dans le web qui s’effrite.

Les internautes eux-mêmes sentent la manipulation : ils recherchent une information pluraliste, mais Google les enferme dans un univers appauvri, aseptisé, calibré pour la publicité.

Aujourd’hui, pour bénéficier d’informations de qualité, il faut chercher loin et longtemps.

Cette perte de confiance nourrit une anxiété plus large : celle d’un monde où la parole indépendante n’a plus sa place, où tout est filtré par une poignée d’acteurs dominants.

Google, miroir d’une société malade

L’éthique comme masque

Google se présente comme un champion de l’éthique :

  • Protection des données,
  • Lutte contre la haine en ligne,
  • Soutien aux créateurs.

Mais, à chaque fois, derrière le masque se cache l’appétit commercial. La donnée est exploitée, la haine est tolérée si elle rapporte, et les créateurs sont sacrifiés s’ils ne servent pas les intérêts publicitaires.

C’est comme un prédicateur hypocrite : il prêche la vertu, mais vit du vice qu’il dénonce.

La logique du capitalisme en fin de vie

En réalité, Google incarne à la perfection la logique du capitalisme contemporain :

  • Prédateur,
  • Cynique,
  • Incapable de se renouveler autrement que par la destruction.

Plutôt que d’inventer de nouveaux modèles, il recycle toujours les mêmes recettes :

  • Concentration,
  • Élimination de la concurrence,
  • Marchandisation totale.

Ce système, loin de s’ouvrir, se referme sur lui-même. Il ne crée plus de perspectives : il gère sa survie.

Faut-il attendre la chute du géant ?

Les failles de l’empire

Comme tout empire, Google paraît indestructible, alors qu’il est un colosse aux pieds d’argile.

Ses revenus dépendent à plus de 80 % de la publicité. Qu’un seul changement structurel survienne – nouvelles régulations, migrations massives vers d’autres plateformes – et son hégémonie pourrait vaciller.

La responsabilité des citoyens

Nous ne sommes pas impuissants. Les citoyens peuvent diversifier leurs usages :

  • Utiliser d’autres moteurs de recherche,
  • Soutenir les médias indépendants,
  • Refuser la servitude volontaire.

Effectivement, changer d’habitude, c’est aussi reprendre une part de pouvoir.

Google est devenu le serial killer impuni du web.

Derrière ses discours éthiques, il massacre la diversité, détruit les sites indépendants, et appauvrit la parole en ligne. Son crime de l’été 2023 en est l’exemple paroxystique :

  • Des milliers de sites laminés,
  • Une créativité réduite au silence,
  • Une angoisse psychosociale installée.

Mais Google n’est pas une anomalie : il est le miroir d’un système plus vaste, où l’État français lui-même agit selon la même logique.

Les faibles sont sacrifiés, les forts préservés, et tout cela pour maintenir en vie un capitalisme déjà mort.

À force de tuer ce qui respire encore, Google finira par se tuer lui-même. La seule question est : combien de victimes emportera-t-il dans sa chute ?

Un allié face au « serial killer » : Deeler.App

Confronté à ce « serial killer » qu’est Google, on peut sombrer dans l’impuissance, la colère et l’anxiété.

Deeler.App ne peut pas changer l’algorithme de Google, mais elle peut vous aider à reprendre le contrôle sur ce que le géant ne peut pas atteindre : votre monde intérieur.

L’application ne remplace pas l’action. Elle prépare à l’action. Elle vous offre un espace pour décoder le sentiment d’injustice, la résignation et le stress que ces événements génèrent.

Canaliser la colère

L’approche systémique de deeler.app vous aide à comprendre que la colère n’est pas un sentiment isolé, mais une réaction à une perception d’injustice. L’IA vous accompagne pour transformer cette colère paralysante en une force constructive.

Gérer l’impuissance

Lorsque votre travail et vos efforts sont anéantis en un claquement de doigts, il est facile de se sentir impuissant.

Deeler.App vous permet de travailler sur cette angoisse en vous recentrant sur ce que vous pouvez réellement maîtriser : vos propres émotions et votre capacité à vous adapter, même face à l’adversité.

En bref, Deeler.App est un allié précieux pour ceux qui se sentent illégitimement exclus.

L’application devient un outil pragmatique pour construire une résilience psychologique face à un monde de plus en plus incertain, un moyen de se reconnecter à sa propre force intérieure, même quand les géants comme Google font la loi (pour combien de temps encore ?).

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Questions fréquentes – FAQ

Q1 : Pourquoi mon site a-t-il été pénalisé par Google ?

Il est très probable que votre site ait été touché par une mise à jour de l’algorithme, notamment le « Helpful Content Update » de 2023.

Ces mises à jour visent officiellement à valoriser les « contenus utiles », mais de nombreux créateurs ont constaté que Google privilégie en réalité les gros sites généralistes au détriment des sites plus petits et spécialisés.

La qualité de votre contenu, la structure technique de votre site, sa vitesse de chargement et le profil de vos liens peuvent aussi être en cause.

Q2 : Comment un changement d’algorithme peut-il être un « massacre algorithmique » ?

L’expression « massacre algorithmique » fait référence à la destruction soudaine et massive du trafic d’un site web à la suite d’une mise à jour de l’algorithme de Google.

Les chiffres sont sans appel : certains sites ont vu leur trafic chuter de 50 à 95% en quelques semaines. Cette perte n’est pas un accident mais la conséquence d’une décision algorithmique qui privilégie un petit nombre de sites au détriment de la diversité.

Q3 : Quelles sont les conséquences psychologiques de ces chutes de trafic ?

La perte soudaine et inexplicable d’un travail de longue haleine peut générer de la frustration, de la colère, de l’anxiété, et même un sentiment de trahison.

Les créateurs de contenus peuvent se sentir impuissants et en perte de contrôle. Ce sentiment d’impuissance et la démotivation qui en découlent sont des conséquences psychologiques importantes de la « purge numérique ».

Ressources externes

Mises à jour Google : quel impact de la nouvelle update ?

Cet article de Foxglove analyse l’impact du « Helpful Content Update » de 2023 sur le référencement naturel.

URL : https://foxglove-partner.com/helpful-content-update-2023/

Chute de trafic SEO : comment l’analyser et en sortir plus fort ?

Un guide de Nicolas Baldi pour comprendre les causes d’une baisse de trafic et les étapes à suivre pour se reconstruire.

URL : https://nicolasbaldi.com/chute-trafic-seo-que-faire/

Les troubles liés à l’usage excessif du numérique

Maad Digital explore les conséquences psychologiques, comme le FOMO (la peur de manquer quelque chose) et la cyberdépendance, qui sont exacerbées par les environnements numériques.

URL : https://www.maad-digital.fr/articles/les-troubles-lies-lusage-excessif-du-numerique/

Effets des écrans sur la santé mentale et physique

Portail du gouvernement du Québec sur l’hyperconnectivité, utile pour comprendre les effets de l’exposition prolongée aux écrans et aux médias.

URL : https://www.inspq.qc.ca/ecrans-hyperconnectivite/effets-mentale-physique

La loi du plus fort dans les relations internationales : quand la puissance impose sa vérité et nourrit l’anxiété mondiale

Depuis des siècles, la scène internationale ressemble à une arène où les plus puissants dictent les règles et redessinent les frontières au gré de leurs intérêts.

Le vocabulaire a changé : on parle aujourd’hui de diplomatie, de sécurité, de défense, de « responsabilité internationale », mais le fond reste identique : la loi du plus fort prévaut.

Derrière les discours policés des chefs d’État, c’est toujours le bras de fer, la menace, ou la guerre qui tracent les lignes.

Or, cette logique brutale, loin de rassurer, crée un climat d’insécurité psychologique collective.

Elle nourrit une angoisse constante : chez les petites nations qui craignent de disparaître, chez les populations qui vivent sous le feu, et même chez les citoyens des grandes puissances, pris en otage par les fantasmes de domination de leurs dirigeants.

Tel un jeu d’échecs où chaque pion est une vie humaine, les dirigeants comme Poutine ou Trump avancent leurs pièces en croyant dominer le monde, mais laissent derrière eux un champ d’angoisse planétaire.

La loi du plus fort : un vieux poison toujours actif

De la jungle à la géopolitique

La croyance que « seuls les forts survivent » ne date pas d’hier.

Dans la nature, cette loi a un sens : la survie du plus adapté. Transposée dans les relations internationales, elle devient une caricature dangereuse : les États les plus puissants s’arrogent le droit d’écraser les autres, au nom de la sécurité ou de la civilisation.

Le colonialisme fut l’un de ses avatars les plus brutaux.

Aujourd’hui, ce colonialisme a changé de forme : il n’est plus forcément territorial, mais il est économique, numérique, culturel.

Derrière les discours de partenariat, les nations dominantes imposent encore leurs règles.

Une illusion de puissance, une réalité de chaos

Ce qui frappe, c’est que cette loi du plus fort ne garantit jamais la paix. Bien au contraire, elle installe un climat permanent de méfiance et d’anxiété.

Les pays moins armés vivent dans la peur d’être avalés ou abandonnés, tandis que les plus puissants ne dorment jamais tranquilles, obsédés par l’idée qu’un rival puisse un jour les dépasser.

C’est la métaphore du colosse aux pieds d’argile : plus un empire paraît puissant, plus il est hanté par la crainte de s’effondrer.

Ukraine, Palestine, Israël : deux tragédies contemporaines

L’Ukraine : une nation otage des ambitions impériales

L’invasion de l’Ukraine par la Russie n’est pas qu’un conflit régional. C’est la démonstration que, dans le monde actuel, la force brute prime encore sur le droit international.

Poutine, arc-bouté sur sa vision impériale, impose la guerre comme outil de « négociation ».

Pour les Ukrainiens, cette agression se traduit par la terreur quotidienne, l’exil, la mort.

Pour l’Europe et le reste du monde, c’est une source d’angoisse : si la Russie peut envahir impunément son voisin, qui sera le prochain ?

L’angoisse devient systémique : les marchés financiers tremblent, les prix de l’énergie flambent, les familles redoutent un élargissement du conflit.

Palestine et Israël : une guerre sans fin qui normalise l’horreur

Depuis des décennies, le conflit israélo-palestinien illustre une autre forme de loi du plus fort : la supériorité militaire d’Israël, soutenue par des alliés puissants, contre une population palestinienne souvent réduite à l’impuissance.

Chaque bombardement, chaque attentat, chaque riposte nourrit une spirale de désespoir.

L’opinion publique mondiale oscille entre indignation et résignation, et une génération entière grandit avec le sentiment que la violence est devenue une norme.

La banalisation de ce conflit engendre une angoisse sourde, bien au-delà du Proche-Orient.

Elle envoie au monde entier le message que la justice internationale est impuissante et que la force militaire reste le dernier argument.

Quand Poutine et Trump réécrivent le monde à leur profit

Le fantasme impérial de Poutine

Pour Poutine, la guerre n’est pas seulement une stratégie : c’est une manière de réaffirmer son rôle de « Tsar moderne ». Il manipule la mémoire historique, ressuscite les fantômes de l’URSS et s’érige en sauveur d’une Russie assiégée.

Mais cette logique paranoïaque enferme son peuple dans un climat d’angoisse permanente : peur de l’ennemi extérieur, peur de la dissidence intérieure.

La loi du plus fort, ici, ne protège personne : elle fragilise une nation entière.

Trump et l’illusion du deal permanent

Trump, quant à lui, a théâtralisé la politique internationale comme un marché aux enchères. Pour lui, les alliances se marchandent, les menaces deviennent des leviers, et la diplomatie se réduit à un show.

Mais derrière le spectacle, une logique brutale domine : l’Amérique d’abord, les autres après.

Cette posture alimente la défiance mondiale et accroît l’angoisse de partenaires traditionnels qui se demandent à quel moment ils seront « sacrifiés » sur l’autel d’un nouveau deal.

Les conséquences psychosociales de cette brutalité

L’angoisse des nations fragiles

Les petites nations vivent dans une insécurité existentielle.

Elles savent que, face aux géants, elles n’ont que peu de marges de manœuvre. Cette peur permanente s’incarne dans des politiques de survie :

  • alliances forcées,
  • dépendance économique,
  • militarisation précipitée.

La peur diffuse des citoyens

Cette loi du plus fort ne s’arrête pas aux chancelleries : elle infiltre la psyché des citoyens.

Elle alimente une anxiété collective faite d’incertitudes, de catastrophisme et de résignation. L’idée que le monde est gouverné par la force et non par le droit ronge la confiance et encourage le cynisme.

C’est comme si l’humanité vivait sous une épée de Damoclès permanente, suspendue au-dessus de sa tête, au gré des caprices des puissants.

L’effet boomerang sur les grandes puissances elles-mêmes

Même les pays dominants ne sont pas épargnés.

Les États-Unis, la Russie, la Chine, tous vivent sous la hantise d’un basculement. La puissance militaire rassure un temps, mais elle nourrit aussi la paranoïa : plus on est fort, plus on redoute d’être défié.

Vers une alternative ?

Redonner une place au droit international

Face à la loi du plus fort, la seule réponse crédible reste le droit.

Malheureusement, celui-ci est affaibli, instrumentalisé, contourné. Redonner du poids aux institutions internationales, c’est recréer une sécurité psychologique pour les nations.

Réinventer la coopération plutôt que la domination

Au lieu de vivre dans une logique de confrontation, les États pourraient investir dans une diplomatie de la coopération, ce qui implique de passer de la logique du fusil à celle de la table ronde.

La responsabilité des citoyens

Enfin, il serait naïf de croire que tout se joue au sommet.

Les peuples ont un rôle à jouer : par leurs votes, leurs mobilisations, leurs prises de parole, ils peuvent exiger une autre manière de gouverner le monde.

La loi du plus fort est un vestige primitif que l’humanité traîne comme un boulet.

En Ukraine, en Palestine, dans les relations internationales orchestrées par Poutine ou Trump, elle démontre son absurdité. Loin d’apporter stabilité et puissance, elle engendre angoisse, chaos et insécurité globale.

Tant que nous accepterons cette règle implicite, nous vivrons dans une arène où la peur dicte ses lois.

Mais si nous avons le courage de la remettre en cause, alors peut-être pourrons-nous transformer ce champ de bataille en un espace de coopération.

Un allié face à l’anxiété planétaire : Deeler.App

L’anxiété ne naît pas seulement de nos problèmes personnels, mais aussi d’une insécurité globale que les puissants attisent. Face à un monde perçu comme incontrôlable, deeler.app se présente non pas comme une solution politique, mais comme un refuge psychologique.

L’application ne prétend pas arrêter une guerre ou changer une politique internationale. Sa mission est d’aider l’individu à naviguer dans ce chaos.

Si la loi du plus fort opère à l’échelle mondiale, deeler.app propose une autre loi, celle de la résilience intérieure.

De la résignation à l’action

Face aux informations anxiogènes (guerres, catastrophes, menaces), il est facile de sombrer dans l’impuissance. deeler.app vous offre un espace pour décoder cette angoisse et la canaliser.

L’IA vous aide à identifier ce qui est sous votre contrôle et ce qui ne l’est pas, vous permettant de ne plus subir la peur, mais d’agir sur ce qui est à votre portée.

Un lieu pour la paix intérieure

Pendant que le monde est en conflit, l’application est un lieu où vous pouvez vous entraîner à trouver un équilibre.

Par l’approche systémique, elle vous aide à transformer vos pensées catastrophistes en un dialogue structuré, vous armant d’outils pour maintenir votre sérénité au milieu de la tempête.

Le monde ne changera pas du jour au lendemain, mais la manière dont vous l’abordez, oui. deeler.app est là pour vous accompagner dans la construction de cette paix intérieure, un pas à la fois.

Important

Pour aller plus loin dans votre réflexion, Deeler.app vous accompagne avec des exercices personnalisés et un suivi de votre évolution.

Posez votre question et obtenez une réponse immédiate.

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Ceci ne remplace pas un avis médical. En cas de nécessité, contactez les services d’urgence.

Questions fréquentes – FAQ

1. Comment la géopolitique peut-elle impacter ma santé mentale ?

Les événements géopolitiques majeurs comme les guerres ou les crises peuvent provoquer une anxiété collective.

En vous exposant constamment à des informations stressantes, vous pouvez développer des sentiments d’impuissance, de la peur chronique, ou même des troubles du sommeil et des troubles de l’humeur.

2. Est-ce normal de se sentir impuissant face aux actions de dirigeants comme Poutine ou Trump ?

Oui, c’est une réaction très humaine. Le sentiment d’impuissance est un mécanisme psychologique normal face à des situations que l’on ne peut pas contrôler. Dès lors, il s’agit d’une réaction à la « loi du plus fort » qui semble régir le monde.

Le défi n’est pas de changer le monde, mais de trouver des outils pour ne pas se laisser submerger par ce sentiment.

3. Comment puis-je me protéger de l’anxiété liée à l’actualité ?

Il est crucial d’adopter une approche saine de la consommation d’informations : 

  • Limitez votre exposition : Évitez de lire les actualités en continu et privilégiez une ou deux sources fiables par jour.
  • Identifiez les biais : Soyez conscient de la manière dont les médias et les discours politiques peuvent amplifier l’angoisse.
  • Passez à l’action locale : L’action est un excellent antidote à l’impuissance. S’impliquer dans des causes locales ou des actions de soutien peut aider à retrouver un sentiment de contrôle et de sens.

Ressources externes

La psychologie politique

Une discipline inattendue

URL : https://publications-prairial.fr/canalpsy/index.php?id=1070

Guerre en Ukraine, comment gérer notre anxiété ?

Article du site Résilience PSY qui propose des conseils pratiques pour gérer le stress et l’anxiété face à des événements géopolitiques majeurs.

URL : https://www.resilience-psy.com/guerre-en-ukraine-comment-gerer-notre-anxiete/

L’anxiété liée à la guerre et aux conflits

Fiches d’information et des outils du site Jeunesse, J’écoute pour aider les individus à gérer l’anxiété liée à la guerre et aux conflits.

URL : https://jeunessejecoute.ca/information/lanxiete-liee-a-la-guerre-et-aux-conflits/

Les défis méconnus des psy et des coach : voyage au cœur de la profession

Être psy ou coach est souvent présenté comme un métier noble, auréolé d’écoute bienveillante et de sagesse tranquille. Dans l’imaginaire collectif, ils incarnent la sérénité, le recul et la maîtrise.

Pourtant, derrière ce vernis idéalisé se cache une réalité plus rugueuse : celle d’hommes et de femmes qui absorbent chaque jour la détresse des autres, au risque de sombrer dans la leur.

C’est un paradoxe : ceux qui aident les autres à se relever avancent souvent sur un fil invisible, oscillant entre puissance symbolique et fragilité intime.

Ce voyage, loin d’être paisible, ressemble parfois à une traversée en haute mer : une embarcation frêle secouée par des vagues émotionnelles qu’ils n’ont pas toujours les moyens de contenir.

Les défis émotionnels : le prix caché de l’écoute

La fatigue de compassion : l’usure invisible

Le psy ou le coach ne manipule pas des chiffres ou des algorithmes.

Il appréhende l’humain brut, avec ses fêlures, ses douleurs, ses effondrements. Jour après jour, il plonge dans des récits de viol, de perte, de solitude, de trahison et… il doit rester debout.

La psychologie parle de fatigue de compassion : ce réservoir émotionnel qui se remplit séance après séance, jusqu’à déborder. Imaginez alors une éponge qui absorbe l’eau d’autrui mais qu’on n’essore jamais.

À un moment, elle dégouline.

Cette fatigue se traduit par un détachement froid, une perte d’empathie, parfois même une indifférence coupable. Et pourtant, le public croit encore au psy inébranlable, comme si son humanité s’arrêtait au seuil du cabinet.

Le syndrome de l’imposteur : le miroir brisé

Autre fantôme courant : le syndrome de l’imposteur.

Malgré des années d’études, de stages et de supervisions, beaucoup de praticiens se demandent :

  •  » Suis-je vraiment légitime ? « 
  •  » Ai-je vraiment aidé cette personne ? « 

L’angoisse est exacerbée par la nature intangible du résultat.

Un comptable sait quand son bilan est juste. Un chirurgien voit la cicatrice refermée. Le psy, lui, navigue dans un brouillard : le patient va mieux… mais est-ce grâce à lui, ou malgré lui ?

Les jeunes praticiens sont les plus touchés

Jetés dans le bain de la souffrance humaine, ils portent le poids de la responsabilité, avec parfois le vertige d’être de simples humains déguisés en sauveurs.

Les défis professionnels : la complexité permanente

Des cas uniques, des puzzles mouvants

Chaque patient est un monde. Chaque coaché, une énigme. Pas de recette miracle, pas de protocole universel. Ce qui marche pour l’un échoue pour l’autre.

C’est un puzzle dont les pièces changent de forme et de couleur à chaque tentative. Une métaphore cruelle, mais réaliste, d’autant plus que la diversité des troubles psychiques – anxiété, dépression, addictions, troubles de la personnalité – exige une polyvalence extrême.

Le psy est condamné à être un éternel étudiant, lesté d’ouvrages, de formations, de colloques, sous peine d’être dépassé par les nouvelles pathologies sociales :

La tyrannie des attentes

A cela s’ajoute un poison quotidien : les attentes démesurées.

Patients et familles arrivent souvent avec l’idée qu’une thérapie est une baguette magique. Trois séances, et la dépression s’évapore. Deux rendez-vous, et l’addiction disparaît.

Le psy doit alors tenir une ligne de crête : ne pas éteindre l’espoir, mais ne pas mentir sur les délais. En effet, la thérapie, c’est du temps, de la patience, de la rechute parfois.

Mais qui, dans une société de l’immédiateté, accepte encore d’attendre ?

Les défis relationnels : danser sur un fil

La frontière poreuse entre travail et vie privée

Quand un maçon rentre chez lui, il laisse ses briques sur le chantier. Quand un psy ferme la porte du cabinet, les voix de ses patients continuent parfois de tourner dans sa tête.

Difficile de « débrancher « . Beaucoup s’endorment en pensant à leurs patients, rêvent d’eux, portent leur douleur comme une seconde peau. Alors, parfois, leur vie personnelle s’étiole, rongée par une présence invisible.

Le salut passe par des rituels de séparation : une marche après le dernier patient, un carnet où déposer ses pensées, un moment symbolique pour rompre le lien.

Mais combien y parviennent réellement ?

La relation thérapeutique : empathie ou noyade ?

La relation thérapeutique est une danse délicate. Trop de distance, et le patient se ferme. Trop d’implication, et le psy s’y perd.

C’est l’équilibre fragile entre empathie sincère et froideur protectrice. L’art de tendre la main sans se laisser aspirer dans le gouffre.

Mais comment garder cette juste distance quand on entend, jour après jour, l’horreur du monde ?

Les défis institutionnels : le poids du système

La bureaucratie dévorante

Les psys rêvaient d’écoute, de parole, d’humanité. Mais ils découvrent la jungle administrative :

  • Factures,
  • Dossiers,
  • Codifications,
  • Formulaires absurdes.

Le temps dévoré par la paperasse est un temps volé au soin et, paradoxalement, les institutions exigent toujours plus de rapports, de chiffres, d’évaluations.

Comme si la souffrance humaine pouvait se résumer à un tableur Excel.

Le manque criant de ressources

A tout cela, s’ajoute un manque chronique de moyens :

  • eu de temps,
  • Peu de personnel,
  • Peu de financements pour les supervisions ou la formation continue.

Résultat : des thérapeutes épuisés, isolés, parfois dépassés et une qualité de soin qui en souffre.

Beaucoup de psy finissent par bricoler avec ce qu’ils ont, quand ils ne quittent pas tout simplement la profession.

Les défis éthiques : naviguer dans le gris

La confidentialité sous tension

La règle d’or : la confidentialité mais, dans la pratique, le psy se heurte à des dilemmes :

  • Faut-il garder le silence si un patient confie des envies suicidaires ?
  • Faut-il alerter quand une violence familiale est révélée ?

Chaque décision devient un pari moral, avec une épée de Damoclès : protéger la vie privée ou protéger la vie tout court.

Les conflits d’intérêts : la tentation du pouvoir

Le psy n’est pas un saint. Il peut être tenté de favoriser un patient, de jouer avec le transfert, voire d’utiliser son aura pour dominer.

D’où l’importance cruciale des codes de déontologie et de la supervision, non pas comme carcan, mais comme garde-fous contre la dérive.

Derrière la façade : l’humain, toujours

On voudrait croire que les psys et les coachs sont des sages au-dessus de la mêlée. La vérité est plus dérangeante.
Ils sont humains, traversés par les mêmes doutes, les mêmes failles que ceux qu’ils accompagnent.

Mais c’est peut-être là leur force paradoxale. Leur fragilité n’est pas un handicap : c’est une preuve de leur humanité partagée.

En fin de compte, être psy ou coach, c’est accepter de marcher sur un champ de mines invisible, chaque jour. C’est être à la fois gardien du feu et vulnérable à ses flammes.

Et c’est précisément parce que ce métier est difficile qu’il mérite d’être reconnu, soutenu, protégé.

Un allié silencieux pour le soignant : Deeler.app

Le présent article a pour fonction de mettre en lumière la face cachée de la profession, révélant la solitude du thérapeute face à la fatigue de compassion et au syndrome de l’imposteur.

C’est précisément dans ces moments de fragilité que deeler.app se positionne, non pas comme un remplaçant, mais comme un allié intelligent et discret pour les professionnels de la santé mentale.

L’application n’a pas pour vocation de se substituer à la relation thérapeutique, mais de la prolonger et de la renforcer. Elle agit sur deux fronts principaux pour soutenir le praticien :

Réduire le fardeau émotionnel du praticien

L’IA de deeler.app permet aux patients de travailler sur leurs angoisses et leurs peurs entre les séances.

En offrant un espace de réflexion et de dialogue structuré, elle aide le patient à désamorcer ses pensées intrusives, ce qui peut – potentiellement – diminuer l’intensité de la détresse qu’il apporte en consultation. Le psy peut ainsi se concentrer sur l’essentiel, sans avoir à être une « éponge » qui absorbe sans fin.

Offrir une aide face au syndrome de l’imposteur

Le doute du praticien est souvent lié à la nature intangible des progrès du patient.

Deeler.app apporte un cadre qui permet au patient de prendre du recul, de noter ses avancées, aussi infimes soient-elles. Cela offre au thérapeute une source indirecte de validation et d’objectivité.

L’IA n’est pas un sauveur, mais un outil qui rappelle aux deux parties que le progrès est un processus, pas une ligne droite.

En fin de compte, deeler.app permet au professionnel de se concentrer sur son rôle d’accompagnant, sans porter seul le poids de la souffrance de l’autre.

Il s’agit donc d’un partenaire technologique qui aide à naviguer sur le « champ de mines invisible » du métier, sans pour autant le déshumaniser.

Important

Pour aller plus loin dans votre réflexion, Deeler.app vous accompagne avec des exercices personnalisés et un suivi de votre évolution.

Posez votre question et obtenez une réponse immédiate.

Pas d’idée précise ? Ouvrir Deeler

Ceci ne remplace pas un avis médical. En cas de nécessité, contactez les services d’urgence.

Questions fréquentes – FAQ

1. Le syndrome de l’imposteur est-il une pathologie spécifique aux thérapeutes ?

Non, le syndrome de l’imposteur est un sentiment qui touche de nombreuses professions, surtout celles dont les résultats sont moins tangibles. Cependant, il est exacerbé chez les thérapeutes et les coachs en raison de la nature subjective des progrès de leurs patients et de la pression sociale à être perçus comme infaillibles.

2. Comment un psy ou un coach peut-il se protéger de la « fatigue de compassion » ?

La fatigue de compassion est une usure émotionnelle qui résulte de l’exposition constante à la souffrance d’autrui. Les professionnels doivent pratiquer l’auto-soin, établir des limites claires avec leurs patients, prendre du temps pour soi en dehors du travail, et, surtout, faire appel à la supervision, un espace où ils peuvent déposer leurs propres émotions et réflexions avec un pair.

3. Est-ce qu’un psy qui souffre du syndrome de l’imposteur peut être un bon thérapeute ?

Paradoxalement, oui. Le doute et la remise en question sont souvent le signe d’une grande humilité et d’une conscience professionnelle élevée. Un thérapeute qui ne se remet jamais en question peut devenir rigide et moins efficace. L’essentiel est de ne pas laisser ce syndrome paralyser la pratique et d’en faire une force pour progresser.

4. Comment un outil comme deeler.app peut-il aider les professionnels ?

Deeler.app peut être un précieux allié. D’une part, il peut être recommandé aux patients pour les aider à faire un travail personnel entre les séances, ce qui réduit la charge émotionnelle qui pèse sur le thérapeute et optimise le temps de consultation. D’autre part, l’application peut aider les professionnels à gérer leur propre anxiété et leurs propres failles.

Ressources externes

La fatigue de compassion : prévenir l’épuisement professionnel chez les soignants

Article de l’Ordre des psychologues du Québec qui explique en détail les causes et les signes de la fatigue de compassion, avec des stratégies de prévention pour les professionnels de la santé mentale.

Le syndrome de l’imposteur : un symptôme ou un levier ?

Le syndrome de l’imposteur, bien plus qu’une simple peur, est un poison qui nous pousse à douter de notre légitimité.

Il prend racine non pas dans une faiblesse, mais dans une stratégie d’évitement de l’angoisse. Il nous pousse à nous comparer aux autres pour valider notre propre valeur, alors que la véritable bataille est intérieure.

URL : https://www.scienceshumaines.com/d-ou-vient-le-syndrome-de-l-imposteur_fr_42716.html

Code de déontologie des psychologues

Document officiel qui régit la pratique des psychologues en France. Il est une ressource essentielle pour les professionnels qui cherchent à naviguer dans les dilemmes éthiques de leur métier.

URL : https://www.psychologue-legislation.com/pdf/code_deontologie_psychologues_2021.pdf