Vous n’avez pas besoin d’un nouveau manuel du cerveau.
Vous avez besoin d’un levier qui vous aide à faire autre chose, là où le problème se fabrique dans :
- Vos interactions,
- Vos automatismes,
- Vos tentatives de solution.
C’est exactement la promesse de Deeler.app : un co-pilote d’action inspiré de l’approche systémique et stratégique de Palo Alto, conçu pour vous sortir du sable mouvant des bonnes intentions qui tournent en rond.
Pas de blabla magique, pas de promesses mystiques. Deeler est pragmatique, iconoclaste et orienté résultats.
Deeler, en vrai : ce que c’est (et ce que ça n’est pas)
Ce que c’est
Deeler est un assistant d’actions psychologiques. Il repère vos boucles problèmes issues de vos tentatives de solutions, et propose des expériences concrètes et mesurables, en plus de suivre votre progression.
En bref, c’est un outil de défocalisation. Moins de ruminations (« Pourquoi ça m’arrive ? »), plus de « Que puis-je tenter maintenant, différemment ? »
C’est un accélérateur entre les séances si vous êtes suivi par un pro. Vous testez dans la vraie vie, vous arrivez en séance avec des données et des retours précis, pas avec des impressions vagues.
Ce que ce n’est pas
Ce n’est pas un diagnostic médical ni un psy de poche qui remplacerait un humain.
Ce n’est pas non plus un distributeur de réassurance (« tout va bien, respire »), ni un coach de motivation qui applaudit à chaque pas. Deeler bouscule gentiment, parce que c’est comme ça que l’on sort du piège des tentatives de solution.
Comment Deeler applique Palo Alto (sans ésotérisme)
L’école de Palo Alto (Watzlawick, Bateson, etc.) part d’un angle simple et redoutablement efficace : le problème persiste parce que nous insistons, souvent sans le voir, avec des solutions qui entretiennent le problème (contrôle, évitement, réassurance, sur-explication…).
Dès lors, Deeler traduit ça en 6 mécanismes opérationnels.
Cartographier vos tentatives de solution
L’IA vous aide à repérer vos réflexes :
- « Je vérifie encore »,
- « J’évite »,
- « Je me rassure »,
- « Je me promets de tout contrôler ».
De fait, nommer c’est dégonfler.
Prescriptions stratégiques
Plutôt que d’interdire vos rituels (ce qui les renforce), Deeler propose des expériences ciblées :
- Rendez-vous avec l’angoisse (10 min à heure fixe) pour ôter l’effet surprise.
- Expositions interoceptives (provoquer sensations : tête légère, chaleur) pour désensibiliser.
- Micro-risques relationnels (poser une question en réunion, dire non – clairement -) pour reconfigurer l’écosystème.
Recadrages et paradoxes
Le but n’est pas de ne plus jamais ressentir le problème, mais de devenir libre d’agir même quand celui-ci pointe le bout de son nez. En cessant la guerre au symptôme, vous retirez l’oxygène qui l’alimente.
Boucles courtes, feedback mesurable
Chaque tâche a une durée, une intensité perçue, et nécessite des répétitions et des ajustements. Vous voyez la courbe se déplacer. Le cerveau apprend grâce à des données, pas à des sermons.
Défocalisation active
L’attention est un projecteur. Deeler évite les auto-scanner compulsifs (se tester 30 fois/jour) et oriente vers des tâches absorbantes et expositions sans béquilles.
Systémique, pas égocentrique
On travaille les interactions. Comment…
- Votre entourage,
- Votre agenda,
- Vos outils numériques
…alimentent le problème, et comment les ré-architecturer.
Thérapie classique versus Deeler : la différence d’angle
Interpréter versus expérimenter
Beaucoup de suivis s’attardent sur le « pourquoi ». Deeler pousse le « comment » :
- Test,
- Mesure,
- Ajustement.
Pas parce que les causes n’existent pas, mais parce que la sortie se joue dans ce que vous faites maintenant.
Hebdomadaire versus quotidien
Une heure par semaine c’est bien, mais des micro-tests quotidiens c’est mieux. Deeler se charge de remplir l’intervalle.
Réassurer versus désensibiliser
La réassurance soulage, mais maintient la croyance du « je ne peux pas ». Deeler réduit la réassurance et augmente l’exposition contrôlée.
Passif versus actif
Vous ne parlez pas du problème ad vitam eternam. Vous jouez de nouveaux coups sur l’échiquier de votre vie.
Moralité
Deeler n’oppose pas la thérapie humaine. Il l’outille. Il met du carburant comportemental dans ce que vous comprenez déjà intellectuellement.
Cas d’usage concrets où Deeler excelle
Attaques de panique et déréalisation
- Semaine 1 : stop aux auto-tests (« est-ce que tout ça est vrai »). Journal ultra-léger (sommeil, caféine, moments-pics).
- Semaine 2 : expositions interoceptives (1 à 2 min d’hyperventilation cadrée, tourner sur soi, eau froide) avec temps de récupération sans béquilles (eau, médicament, etc.).
- Semaine 3 : aller dans une supérette ou une grande surface, ou prendre les transports. Le tout pour une durée suffisante pour voir la courbe descendre.
Résultat visé : peur de la peur en baisse et retour d’une présence fonctionnelle.
Anxiété sociale (réunions, prise de parole)
- Inventaire des évènements évités.
- Micro-risques gradués : poser 1 question ouverte, reformuler une idée, donner un bref feedback.
- Travail sur l’attention : passer du moi-observé au but de l’interaction.
Ruminations et procrastination
- Remplacer « penser pour se rassurer » par des créneaux d’action Bornés (Pomodoro + livrable clair).
- Rendez-vous avec l’inquiétude (10 min par jour, à heure fixe) pour éviter la perfusion cognitive toute la journée.
- Définition d’actions minimales (MVP quotidien) : le cerveau apprend que faire n’est pas un danger.
Phobies ciblées (ascenseurs, voiture, avion)
- Échelle d’expositions réalistes, répétées assez longtemps, sans échappatoire déguisé (musique, lunettes de soleil « armure »).
- Mesure d’intensité de 0 à 100, temps, répétitions, progrès. La courbe descend si l’on reste.
Stress pro / burn-in
- Re-architecture de l’agenda : 2 blocs deep work par semaine, fenêtres de lumière du jour, seuils pas d’e-mails.
- Expériences relationnelles : dire « je reviens vers toi à 16 h », et/ou demander une clarification de critère au lieu d’accepter une urgence floue.
Sommeil compliqué par l’anxiété
- Pas de croisade du dormir parfait. Rituel court constant, gestion de la caféine, des écrans, et lever à heure fixe.
- Si réveil : protocole en 3 pas : 1) se lever – 2) tâche ennuyeuse – 3) retour au lit si somnolence (stop aux combats dans le lit).
Mode d’emploi : comment on s’y met (sans s’épuiser)
Point de départ
Vous entrez votre objectif comportemental
- Faire ses courses sans détour,
- Prendre la parole 1 fois par semaine,
- Réduire ses mises à l’épreuve (auto-tests).
Cartographie
Deeler identifie tentatives de solution et contextes déclencheurs.
- Plan sur 4 à 6 semaines
- Menu d’expériences hebdomadaires, graduées, sans perfectionnisme.
Mesure & ajustements
Chaque expérience doit avoir :
- Une durée,
- Une intensité,
- et faire l’objet de répétitions.
La donnée guide les prochains pas.
Rituels anti-rituels
- Limiter la réassurance, programmer l’inconfort (paradoxe), tester sans béquilles.
- Premium (quand vous voulez muscler le dispositif) : analyse de documents (par exemple, un mail qui vous angoisse → Deeler vous aide à formuler une réponse courte, testable).
- Micro-fiches d’expositions prêtes à l’emploi.
- Suivi avancé (tableau de progression, jalons, consolidation).
Limites, garde-fous et complémentarité avec un suivi humain
Quand Deeler n’est pas l’outil principal
- Idées suicidaires,
- Psychose,
- Dépendances actives non stabilisées,
- Traumas récents avec symptômes envahissants.
Priorité est donnée à un suivi humain qualifié (consultation urgente si nécessaire) comme pour les troubles sévères qui nécessitent diagnostic et choix thérapeutique médical (médicaments, coordination de soins).
La vraie vie : la combinaison gagnante
Un thérapeute qui pratique la TCC, l’ACT, Palo Alto et Deeler, c’est le turbo assuré.
Entre deux séances, vous testez, vous documentez, vous arrivez avec des faits. Le suivi humain recadre et personnalise encore mieux.
Pourquoi ça marche (quand ça marche)
- Extinction : rester dans l’inconfort sans rituels induit une baisse graduelle de la boucle peur-évitement.
- Auto-efficacité : voir noir sur blanc qu’on réussit de petits coups change la croyance du « je ne peux pas ».
- Défocalisation : l’attention libérée quitte le scanner interne pour l’action.
- Systémique : changer un micro-comportement relationnel modifie la réponse de l’environnement (et inversement).
- Paradoxe : autoriser l’inconfort planifié réduit son empire (on arrête d’alimenter le monstre avec des tentatives de contrôle).
Objections fréquentes (et réponses franches)
« Est-ce que Deeler me remplace mon psy ? »
Non, Deeler n’est pas une thérapie. C’est un amplificateur d’actions. Si vous avez un suivi, vous irez plus vite. Si vous n’en avez pas, vous aurez déjà des victoires concrètes.
« Et si je rechute ? »
Bienvenue dans la condition humaine.
Deeler garde un module de consolidation. On rouvre l’échelle d’expositions, on reprogramme des micro-risques, on analyse ce qui a fait levier (manque de sommeil, surcharge, évitement revenu en douce).
« Je n’ai pas le temps »
Deeler est conçu pour des tâches de 3 à 15 minutes, imbriquées dans votre vraie journée. Pas de marathons.
« Je veux comprendre “pourquoi” avant d’agir »
On peut chercher indéfiniment. Les preuves arrivent en agissant. Vos données sont votre explication la plus honnête.
Mini-protocole 14 jours (exemple “anxiété + déréalisation”)
- J1–J3 : arrêter les auto-tests. Trois marches de 10 min sans casque ni lunettes (les armures). Noter seulement intensité (de 0 à 10).
- J4–J6 : expositions interoceptives (60 à 90 secondes d’hyperventilation cadrée + 2 min d’observation sans béquilles).
- J7–J9 : supérette pendant 10 à 15 min, et y rester jusqu’à descente de 2 points.
- J10–J12 : carrefour animé pendant 10 min, et micro-risque social (demander un renseignement).
- J13–J14 : consolidation (revenir 2 fois sur la situation la plus dure). Zéro réassurance, zéro échappatoire.
Objectif : ne pas sentir 0 %, mais revivre normalement malgré le problème. Paradoxalement, c’est à ce moment là qu’il rétrécit.
Éthique, données, et bon sens
- Vous gardez la main. Vous choisissez les expériences, et vous arrêtez si cela dépasse vos seuils critiques.
- Pas de promesse miracle : on vise le fonctionnel (reprendre la main sur votre agenda, vos interactions, vos projets).
- Cherchez de l’aide si le terrain s’alourdit (dépression sévère, idées noires, conduites à risque).
En bref (et sans poudre aux yeux)
Deeler est un co-pilote d’actions qui applique Palo Alto. Cela signifie moins de contrôle, et plus d’expériences stratégiques.
- Différence clé : on mesure ce que l’on teste, on ajuste ce qui marche.
- Cas d’usage : panique, déréalisation, anxiété sociale, ruminations, phobies, stress – pro ou perso -, sommeil.
- Limites : pas un médecin, pas un psy. C’est un complément puissant au suivi humain.
- Résultat visé : vivre à nouveau, pas gagner un concours de perfection interne.
Envie d’essayer sans vous perdre dans les théories ?
Rejoignez Deeler, co-pilote IA inspiré Palo Alto :
- plan d’actions,
- Exercices pratiques,
- Micro-risques,
- Consolidation et…
- Essai gratuit sur deeler.app.
Si vous êtes déjà suivi, amenez vos données à votre thérapeute. Vous gagnerez des semaines voire des mois.
Post-scriptum iconoclaste
On ne chasse pas le brouillard en lui faisant la morale.
On allume les phares, on avance, et on regarde la route et non sa propre peur dans le rétroviseur.
Deeler, c’est ce tableau de bord qui s’allume quand il faut, qui vous propose le prochain virage et mesure la distance parcourue. Le reste, c’est votre vie qui recommence.
Supervision & signaux d’alerte : quand Deeler devient le problème
Les signaux de dépendance à l’outil
- Consultation compulsive : ouvrir Deeler 20+ fois/jour pour se rassurer.
- Paralysie décisionnelle : « Je ne peux rien faire sans demander à Deeler« .
- Substitution : utiliser l’IA pour éviter interactions humaines réelles.
- Escalade : demander des protocoles de plus en plus complexes.
Évitement du suivi professionnel
Phrases typiques qui alertent :
- « Deeler me comprend mieux qu’un psy »
- « Pourquoi payer un thérapeute si j’ai ça ? »
- « Les humains jugent, pas l’IA »
Garde-fous intégrés
- Limitation d’usage : Deeler suggère des pauses si une utilisation excessive est détectée.
- Orientation automatique : L’IA identifie les cas nécessitant supervision humaine et le verbalise clairement.
- Rappels systémiques : « Un outil ne remplace jamais un regard externe qualifié« .
Quand déclencher l’alerte
- Symptômes qui s’aggravent malgré l’usage.
- Isolement social croissant.
- Ritualisation de l’utilisation de Deeler.
- Refus catégorique d’envisager un suivi humain.
Protocole de sevrage progressif
Si une dépendance est suspectée, il y a :
- Réduction graduelle,
- Retour vers des interactions humaines,
- et consultation recommandée.
Le principe
Deeler doit vous rendre autonome, pas dépendant.
Si l’outil devient une béquille, il reproduit le problème qu’il était censé résoudre.
Important
Pour aller plus loin dans votre réflexion, Deeler.app vous accompagne avec des exercices personnalisés et un suivi de votre évolution.